L'homme fut jadis conçu par ses Géniteurs pour devenir le Gardien de la Terre, le protecteur de sa faune et de sa flore ; il en est malheureusement aujourd'hui devenu le bourreau et le liquidateur.
La Hiérarchie planétaire ne peut pas accepter indéfiniment que des êtres vivants soient considérés uniquement comme des produits de consommation et élevés dans des conditions de souffrance abominables avant d'être abattus pour être transformés en viande.
La totalité des animaux de ferme devraient depuis longtemps être élevés uniquement pour les produits que la Nature leur permet d'offrir à l'humanité, qu'il s'agisse de leur lait, de leur laine, ou de leurs œufs. Or l’homme se croit autorisé à leur prendre bien plus que ce qu’ils sont normalement capables de lui donner, comme ces vaches élevées en batteries et à qui on enlève leur petit veau dès la naissance pour s’approprier le lait qui lui était destiné, avant de le massacrer et d’en faire de la viande !
Aucun animal n'a jamais consenti librement à donner sa vie à l'homme. Par conséquent, l'homme n'a aucun droit sur la vie des animaux. Tous les animaux, sans exception, devraient pouvoir continuer à vivre et à évoluer librement. En les privant injustement des conditions d'évolution mises à leur disposition par la Nature, l'homme s’est lui-même condamné à subir un inéluctable et terrible choc en retour.
Le 11 avril 1945, les troupes alliées libérèrent le tristement célèbre camp de concentration de Buchenwald. Les Allemands habitant la ville voisine d’Ottstedt furent contraints par la force à venir visiter le camp et ses monceaux de cadavres de prisonniers qui y avaient été torturés, exterminés et empilés les uns sur les autres avant d’être abandonnés à ciel ouvert, faute d’avoir eu le temps de les faire disparaître en les brûlant ou en les enterrant. L’objectif du Commandement américain était de montrer aux Allemands l’horreur des crimes commis par les nazis qu’ils avaient installés au pouvoir, puis soutenus jusqu’à leur débâcle finale.
De la même manière, toutes celles et tous ceux qui, connaissant les conditions de vie indignes des animaux dans les centres de torture qu’on leur a construits, continuent à se préoccuper uniquement de satisfaire leur gloutonnerie et persistent à se gaver de saucisson, de foie gras et de cadavres d’animaux morts, risquent, au jour de leur départ dans l’autre monde, de devoir faire un détour par ces nouveaux camps de la mort.
La différence est qu’ils ne pourront pas se contenter de passer rapidement à côté de ces millions de corps martyrisés en détournant vaguement le regard et en se bouchant les narines pour ne pas être incommodés par l’odeur, avant de retourner vaquer à leurs activités quotidiennes, comme les Allemands d’Ottstedt le firent à la fin de la guerre. Ils devront partager pour un temps la souffrance de tous ces animaux engraissés, parqués et massacrés dans des conditions abominables pour assouvir leurs pulsions carnassières. Partager, cela signifie non seulement assister à leur supplice mais ressentir et vivre intérieurement leur souffrance et traverser les affres de leur épouvantable agonie.
Il faut savoir que, lorsqu’on s’obstine à bafouer le principal commandement de tous les livres saints de l’ensemble des religions de la planète - « Tu ne tueras point ! » - on s’expose bêtement à devoir payer le prix du sang versé. Et en termes de karma, l’addition est plutôt salée !
Certains carnivores croient avoir trouvé la parade en achetant et en consommant de la viande "bio". Mais le subterfuge, en l’occurrence "la ficelle" du rôti est un peu grosse ! Ce n’est pas parce qu’un animal est élevé avec des céréales bio qu’il est d’accord pour subir un horrible et interminable calvaire dans une prison exiguë ni pour finir sa courte et misérable existence à l’abattoir ! On peut tricher avec les autres, mais il est impossible de tricher avec soi-même le jour du départ, le jour où l’on doit rendre des comptes.
Rien ne nous empêche de continuer à manger des cadavres d'animaux, car nous vivons sur une planète de libre-arbitre, mais personne ne peut échapper aux Lois cosmiques. Tôt ou tard, elles nous rattraperont avec une précision absolue... Mieux vaut le savoir et en tirer immédiatement les conséquences !
À l’inverse du carnivore, celui qui renonce à la viande et décide de devenir végétarien participe consciemment à la transformation de la Terre et apporte sa contribution à la réussite de la transition vers l’Ère Nouvelle qui passe par l’éthérisation de notre planète et de ses habitants, accomplissant ainsi une partie du chemin vers sa propre libération.
Malgré toutes les récentes études démontrant les bienfaits que chacun pourrait retirer d'une alimentation saine, équilibrée et respectueuse de la vie, le végétarisme continue aujourd'hui à faire peur à bon nombre de personnes.
Il est en premier lieu présenté par ses détracteurs comme une source de carence alimentaire et donc de maladie. C'est pourquoi il est temps d'en terminer une bonne fois pour toutes avec ce préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande.
Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité comme en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme que le règne animal. Aujourd'hui, les consommateurs de viande absorbent en moyenne le double de la ration protéinique nécessaire à leur équilibre nutritionnel !
La production de viande entraîne le gaspillage des céréales. Un animal qui consomme sept calories d’origine végétale n'en restitue qu'une seule sous forme de viande. Il est ainsi facile de mesurer le gâchis engendré par cette consommation indirecte de céréales.
En brûlant chaque année des centaines de milliers d’hectares pour les transformer plus rapidement en pâturages, l’homme libère des quantités énormes de gaz carbonique dans l'atmosphère, aggravant encore le réchauffement planétaire.
Le besoin en eau du bétail est tout aussi destructeur que ses besoins en nourriture, puisque la production de bovins exige douze fois plus d'eau que celle des légumes.
Ajoutons que notre planète est confrontée à un nouveau problème : l'interminable accumulation des excréments animaux. Les lisiers sont cent fois plus polluants que les déjections humaines. Ils s'empilent et leurs masses ne peuvent plus être résorbées, ce qui entraîne les conséquences que chacun connaît au niveau de la pollution des nappes phréatiques et de la prolifération des algues toxiques.
Par ailleurs, le végétarisme reste aujourd'hui assimilé par beaucoup de personnes à un phénomène sectaire. Il est souvent considéré comme une menace envers les valeurs morales et identitaires de notre civilisation. Les végétariens sont en effet souvent présentés non seulement comme des utopistes, mais comme des parasites incapables de s'intégrer activement à notre société de consommation.
Pourtant, devenir végétarien est réellement devenu aujourd'hui pour notre humanité une simple question de survie, ni plus ni moins !
En s'obstinant dans la voie du carnivorisme, on contracte des karmas envers le règne animal, puisqu'on leur ôte prématurément la vie, ce qui est triste et inutile. De plus, on brutalise son propre corps. Il n'est pas fait pour ingérer les cadavres et on lui impose des aliments incompatibles avec son essence spirituelle. Il se révolte, et c'est de là que proviennent la plupart des maladies. Comme, par ailleurs, les animaux que l’on mange ont été immolés dans le désespoir, on crée une barrière karmique qui empêche de vibrer en harmonie avec son Moi Supérieur.
L'animal possède une âme ou un corps dit "astral". Lorsqu'il meurt, l’âme astrale s'en va, mais elle laisse son empreinte dans la chair. C'est comme une sorte de relique et quand vous ingurgitez un peu de son cadavre, vous absorbez les sentiments qui restent enfermés dans ses molécules. Ces sentiments, surtout ceux du dernier moment, celui où l’animal est tué ou massacré, ce sont la peur, l’agressivité, et l'angoisse.
Nous dévorons tout cela, en même temps que sa viande. Et, un beau jour sans trop savoir comment ni pourquoi, nous avons des accès de colère, nous avons des accès de terreur, et nous sombrons dans l'angoisse et la dépression : c'est tout simplement l'animal que nous avons mangé qui revient réclamer réparation !
La plupart des Chrétiens pensent que Jésus n’était pas végétarien, mais ils se trompent. D'après les Évangiles apocryphes issus des traditions gnostique et essénienne, Jésus n'a jamais consommé de viande. La nourriture pure à base de fruits, de légumes et de céréales donne énormément de forces magnétiques. Le végétarisme purifie le corps et c'est par cette purification que commence la véritable Initiation. Jamais Jésus n’aurait pu devenir le grand Maître spirituel incarné qu’il fut en son temps s’il avait mangé de la viande.
Il faut donc remplacer les cadavres d'animaux par des aliments purs. Les plantes n'ont pas d'âme astrale mais seulement un corps éthérique ou vital. Par les végétaux, nous n'absorbons que la vie, sans agitation, sans bouleversements, sans conflits.
Le mieux serait évidemment de ne pas manger du tout et de nous nourrir seulement du prâna atmosphérique. Certains êtres y parviennent. Une très célèbre femme indienne du nom de Giri Bala, qui naquit en 1880, a pu vivre ainsi 70 ans sans absorber aucun aliment. Elle utilisait une technique de yoga pour recharger son corps avec de l'énergie cosmique provenant de l'éther, du Soleil et de l'air. Le célèbre Maître indien Yogananda, auteur du best seller Autobiographie d’un Yogi ( http://ange.de.compassion.over-blog.com/article-autobiographie-d-un-yogi-p-yogananda-51233618.html ), fut photographié avec elle en 1936 sur la terrasse de sa maison dans le village isolé de Biur au Bengale et lui rend un hommage appuyé dans son livre. Une enquête rigoureuse sur la vie de cette femme avait été menée sur ordre du Maharaja de Burdwan. Et les médecins qui menèrent cette enquête durent admettre qu’elle réussissait à vivre sans aucune alimentation solide ni liquide.
La grande mystique et stigmatisée allemande Thérèse Neumann, née en 1898, fut gravement blessée au cours d’un accident à l'âge de 20 ans et se retrouva aveugle et paralysée. Mais elle retrouva miraculeusement la vue en 1923 en adressant des prières à Sainte-Thérèse et vécut plusieurs dizaines d'années en se nourrissant uniquement d'une hostie chaque jour, tout en étant régulièrement soumise à une observation médicale rigoureuse.
Mataji Prahlad Jani est un sâdhu indien né en 1927. Et il a toujours affirmé être resté sans boire ni manger depuis l’année 1940. En 2010, Les médias internationaux se sont penchés sur son cas et, après lui avoir fait passer quinze jours sous surveillance médicale ininterrompue, ils ont bien été obligés de constater et de reconnaître qu’il représente un cas inexplicable "d'inédie", autrement dit de "prânisme" ou de "respirianisme", ces trois mots en apparence barbares désignant une même réalité : la possibilité qu’ont certains êtres d’exception de s’alimenter uniquement avec de la lumière et du prâna.
L’australienne Ellen Green, née en 1957 et plus connue sous le nom de Jasmuheen, est devenue célèbre à travers ses livres et ses conférences qui relatent exactement le même type d’expérimentation. Jasmuheen n'aurait absolument rien mangé, même pas de végétaux, depuis 1993 et déclare se nourrir uniquement d’Amour et de Lumière.
Quant à Michael Werner, ce Docteur en chimie né en 1949 à Braunschweig en Allemagne et qui habite dans les environs de Bâle où il dirige à Arlesheim un Institut de recherches pharmaceutiques, il vit depuis 2001 sans ingérer aucune nourriture solide, se contentant de lumière et de quelques liquides. Son inédie a été contrôlée et validée en octobre 2004, après 10 jours de tests dans le service des soins intensifs d'un hôpital suisse, ce qui ne l’empêche pas de jouer régulièrement au tennis et de pratiquer ce sport à un niveau tout à fait honorable !
Nous n'avons pas encore tous atteint le haut niveau de développement spirituel des "respirianistes", et, puisque nous sommes obligés de manger, il est préférable de choisir des aliments beaucoup moins chargés d'énergie négative que la nourriture carnée, l'ultime objectif étant d'accéder au végétalisme.
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http://erenouvelle2.canalblog.com/archives/2011/05/16/21151960.html